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1.
Plantation et restructuration d'un vignoble
1.1
Arrachage d'une parcelle
1.1.1
Sélection des parcelles candidates à l'arrachage
1.1.1.a
Généralités
1.1.1.b
La parcelle est-elle bien valorisée au niveau économique ?
1.1.1.c
Quel est l'état sanitaire de la parcelle ?
1.1.1.d
L'état actuel de la parcelle est-il problématique pour son exploitation ?
1.1.2
Mise en place du planning d'arrachage
1.1.2.a
Comment classifier les parcelles candidates à l'arrachage ?
1.1.2.b
Quel est le pourcentage annuel moyen idéal à arracher ?
1.1.2.c
Comment déterminer la fréquence d'arrachage ?
1.1.3
Méthodologie d'arrachage
1.2
Plantation
1.2.1
La préparation à la plantation
1.2.2
Réception, préparation et installation des plants
1.2.2.a
Quel type de plant choisir ?
1.2.2.b
A quelle période réaliser la plantation ?
1.2.2.c
Quelles sont les bonnes pratiques de préparation de plant ?
1.2.3
L’entretien de la jeune plante
1.2.3.a
La protection des jeunes plants
1.2.3.b
La gestion des adventices
1.2.3.c
La gestion de l’arrosage
1.2.3.d
A quel moment remplacer les jeunes pieds qui n’ont pas repris ?
1.2.3.e
La formation du pied
1.2.4
Choix et installation du matériel de palissage
1.2.4.a
Les types de piquets à installer
1.2.4.b
Fils, ancrage et écarteur
1.3
Préparation de la parcelle
1.3.1
La restructuration environnante, du sol et du sous-sol
1.3.1.a
La mise en place d’un système de drainage
1.3.1.b
Le travail du sol et la délimitation de la nouvelle parcelle
1.3.1.c
Les aménagements particuliers
1.3.2
Le repos du sol
1.3.2.a
Durée de repos du sol
1.3.2.b
La couverture du sol : protection et production de biomasse
1.3.2.c
Choix du semis
1.3.3
Le plan de fumure
1.4
Choix du matériel végétal
1.4.1
Choix du cépage
1.4.1.a
Quels sont les cépages autorisés sur l’AOC ?
1.4.1.b
Quels cépages vont être adaptés au sol de la parcelle ?
1.4.1.c
Quel est l’environnement de la parcelle ?
1.4.1.d
S’il reste plusieurs cépages possibles, comment choisir ?
1.4.2
Choix de l'individu
1.4.2.a
La sélection massale ou clonale ?
1.4.2.b
Les critères de choix d'un clone
1.4.2.c
Retour d'expérimentation : Sélection Massale sur du Cabernet-Sauvignon
1.4.3
Choix du porte-greffe
1.4.3.a
Généralités
1.4.3.b
Quels porte-greffes vont être adaptés au type de sol de la parcelle ?
1.4.3.c
Exemples de raisonnement
1.4.3.d
Retour d'expérimentation : comparaison de porte-greffe
1.4.4
Choix du type de greffe
1.4.4.a
Les greffés soudés
1.4.4.b
Le greffage en place
1.4.5
Choix des caractéristiques du plant
1.4.5.a
Les plants doivent-ils être traités à l’eau chaude ?
1.4.5.b
Les plants doivent-ils être avec mycorhizés ?
1.5
Choix du mode de conduite
1.5.1
Choix du mode d'implantation
1.5.2
Choix de l'orientation des rangs
1.5.3
Choix de la forme de la souche
1.5.3.a
Quelle est la hauteur idéale de tronc à atteindre ?
1.5.3.b
Quelle architecture de feuillage est possible ?
1.5.3.c
Quel type de taille est adapté au mode de conduite sélectionné ?
2.
Conduite du vignoble
2.1
La taille et les travaux d'hiver
2.1.1
La gestion de la taille
2.1.1.a
Les fondamentaux sur la taille
2.1.1.b
Mise en place d’une pré-taille
2.1.1.c
Quelles sont les techniques de taille pratiquées sur la propriété ?
2.1.1.d
Quel est le raisonnement à adopter pour respecter les flux de sève ?
2.1.1.e
L’organisation de la taille
2.1.1.f
Retour d'expérimentation : taille tardive
2.1.2
Les autres travaux d’hiver
2.1.2.a
Gestion des sarments
2.1.2.b
Préparer la complantation
2.1.2.c
L’entretien du palissage
2.1.2.d
Pliage et acanage
2.2
La gestion des adventices
2.2.1
Généralités
2.2.2
Gestion par le travail du sol
2.2.2.a
Généralités sur le travail du sol
2.2.2.b
Les différents outils adaptés aux différentes pratiques
2.2.2.c
Quelle organisation adopter pour travailler le sol ?
2.2.2.d
Logistique du travail du sol
2.2.3
Gestion par les couverts végétaux et paillage
2.2.3.a
Généralités
2.2.3.b
Quelles sont les conséquences d’un paillage sur le sol et la vigne ?
2.2.3.c
Quels types de paillis sont disponibles et adaptés en fonction de la situation ?
2.2.3.d
Mise en place d'un paillis
2.2.3.e
Temps de dégradation du paillis
2.2.4
Gestion par l'enherbement
2.2.4.a
Qu’est-ce que l’enherbement ?
2.2.4.b
Pour quelle raison laisser la vigne enherbée ?
2.2.4.c
Existe-t-il des conditions ou l’enherbement est à proscrire ?
2.2.4.d
Faut-il mettre en place un enherbement partiel ou total ?
2.2.4.e
Mise en place d’un enherbement naturel spontané
2.2.4.f
Le choix d’un enherbement semé contrôlé
2.2.4.g
La mise en place de l’enherbement
2.2.5
Les engrais verts
2.3
Les travaux en vert
2.3.1
L'ébourgeonnage
2.3.1.a
Qu’est-ce que l’ébourgeonnage ?
2.3.1.b
A quelle période est-il pratiqué et est-il possible de le coupler à une autre tâche ?
2.3.1.c
Comment piloter l’ébourgeonnage ?
2.3.2
L'épamprage
2.3.2.a
Qu'est-ce que l'épamprage et quel est son intérêt ?
2.3.2.b
A quelle période est-il pratiqué et est-il possible de le coupler à une autre tâche ?
2.3.2.c
Est-il pertinent de laisser certains pampres ?
2.3.3
Le dédoublage
2.3.3.a
Qu'est-ce que le dédoublage et quel est son intérêt ?
2.3.3.b
Est-ce nécessaire de le faire sur toutes les parcelles ?
2.3.4
Le relevage
2.3.4.a
En quoi consiste le relevage ?
2.3.4.b
En combien d'étape(s) le relevage se fait-il et combien de temps cela prend-t-il ?
2.3.5
L'accolage
2.3.5.a
Qu’est-ce que la pratique de l’accolage ?
2.3.5.b
Quels sont les freins à cette pratique ?
2.3.6
Le rognage et l’écimage
2.3.6.a
Qu’est-ce qu’un écimage ? Quelle différence faire avec le rognage ?
2.3.6.b
Quel est le but de l’écimage et du rognage ?
2.3.6.c
Quand placer le premier rognage ? Quand rogner et écimer de manière générale ?
2.3.6.d
Quels sont les risques d'un rognage placé au mauvais moment ou trop intense ?
2.3.6.e
Quel est l’objectif d’hauteur maximale de feuillage ?
2.3.6.f
Quel type de rogneuse utiliser ? Combien de rang est-il possible de faire par passage ?
2.3.6.g
Autre alternative : le tressage
2.3.7
Les alternatives au palissage en espalier classique
2.3.7.a
La lyre
2.3.7.b
Les échalas
2.3.8
L'effeuillage
2.3.8.a
Qu’est-ce que l’effeuillage ?
2.3.8.b
Sur quels critères se baser pour décider d’effeuiller ou non une parcelle ?
2.3.8.c
Quand faire l'effeuillage ?
2.3.8.d
Quelles sont les modalités d’effeuillage ?
2.3.8.e
Retour d'expérimentation : impact de l'effeuillage sur le microclimat des grappes
2.3.9
L'éclaircissage (vendanges en vert)
2.3.9.a
Quel est l’intérêt de l’éclaircissage ?
2.3.9.b
Est-ce une pratique systématique ?
2.3.9.c
Combien de personnes sont nécessaire pour tout faire sur le stade véraison ?
2.3.9.d
Quelle intensité d’éclaircissage faut-il pratiquer ?
2.4
Lutte contre les maladies et ravageurs
2.4.1
Gestion des maladies cryptogamiques
2.4.1.a
Le mildiou
2.4.1.b
L’oïdium
2.4.1.c
Le Black rot
2.4.1.d
Botrytis cinerea
2.4.1.e
Excoriose
2.4.1.f
Le rougeot parasitaire ou Brenner
2.4.1.g
Anthracnose
2.4.2
Gestion des maladies du bois et des viroses
2.4.2.a
Le bois noir ou Stolbur de la vigne
2.4.2.b
L'Esca
2.4.2.c
Le BDA ou Black Dead Arm
2.4.2.d
L’eutypiose
2.4.2.e
Le court-noué
2.4.2.f
Le pourridié
2.4.2.g
Le pied noir
2.4.2.h
La nécrose bactérienne
2.4.2.i
Le broussin de la vigne
2.4.2.j
La maladie de Pierce
2.4.3
Gestion des ravageurs
2.4.3.a
La cicadelle verte ou cicadelle des grillures
2.4.3.b
La cicadelle bubale
2.4.3.c
La cicadelle de la Flavescence Dorée
2.4.3.d
Eudémis et Cochylis
2.4.3.e
Le phylloxera
2.4.3.f
Les acariens phytophages
2.4.3.g
L’Erinose
2.4.3.h
Drosophila suzukii
2.4.4
Les méthodes alternatives de lutte contre les maladies et les ravageurs
2.4.4.a
Les différentes méthodes alternatives de lutte
2.4.4.b
L’utilisation d’extraits de végétaux en compléments des traitements
2.4.4.c
Les applications biodynamiques
2.5
Matériel et pratiques de traitements
2.5.1
Les typologies du matériel de traitement en viticulture
2.5.1.a
Les différents types de pulvérisateurs
2.5.1.b
Les différents types de buses
2.5.2
Les bonnes pratiques de traitement
2.5.2.a
Adapter le choix du matériel en fonction du traitement
2.5.2.b
Calculer correctement les doses nécessaires
2.5.2.c
Se protéger des risques
2.5.2.d
Vérifier les réglages et contrôler le matériel
2.5.2.e
Respecter des conditions climatiques particulières
2.5.3
Choix du pulvérisateur et des réglages
2.5.3.a
Combien de pulvérisateur sont nécessaires pour couvrir le vignoble ?
2.5.3.b
Les cuves de remplissage et de rinçage
2.5.3.c
L’importance du type de régulation du tracteur pour le bon fonctionnement du pulvérisateur
2.5.4
La gestion de la fréquence de traitement
2.5.4.a
Qu’est-ce que l’IFT ?
2.5.4.b
Quelles sont les doses à prendre en compte ?
2.5.4.c
Comment choisir le moment où renouveler le traitement ?
2.5.5
Exemple : La préparation des traitements au château Latour
2.6
La fertilisation
2.6.1
Généralités sur la fertilisation
2.6.1.a
Introduction
2.6.1.b
Quelle est la différence entre un engrais et un amendement ?
2.6.1.c
Quels sont les éléments minéraux principaux et la conséquence d’une carence de l’un deux ?
2.6.2
Les analyses possibles permettant la prise de décision
2.6.2.a
L’observation visuelle
2.6.2.b
La fosse pédologique
2.6.2.c
L’analyse de sol
2.6.2.d
L’analyse pétiolaire et l’analyse de limbes
2.6.2.e
L’analyse de sarment
2.6.3
Raisonner le chaulage
2.6.3.a
Faut-il chauler cette année ?
2.6.3.b
Quel produit utiliser pour le chaulage?
2.6.3.c
De quelle quantité de produit y-a-t-il besoin ?
2.6.3.d
Comment pratiquer le chaulage ?
2.6.4
Choix d’apporter un engrais ou un amendement
2.6.4.a
Quelles sont les différents critères discriminants dans le choix d’un engrais ou d’un amendement ?
2.6.4.b
Choix des propriétés de l’amendement ou de l’engrais
2.6.4.c
Comment déterminer la quantité d’amendements ou d’engrais à apporter ?
2.6.4.d
Cas d'un apport foliaire
2.6.4.e
Bilan sur la prise décisionnel : l’ordre de priorité des paramètres à corriger
2.7
La complantation
2.7.1
Généralités
2.7.1.a
Pourquoi est-il nécessaire de complanter ?
2.7.1.b
Quel est le taux « normal » de complantation annuel sur une parcelle ?
2.7.1.c
Quelle fréquence de complantation adopter ?
2.7.2
La préparation avant la complantation
2.7.2.a
Quelle période est la plus propice pour arracher les pieds malades ?
2.7.2.b
A quelle période mettre en place la complantation ?
2.7.2.c
Comment déterminer le nombre de plant à commander à l’avance ?
2.7.2.d
Quelle méthodologie mettre en place pour faire les trous de complantation ?
2.7.3
Le choix du matériel végétal
2.7.3.a
Les spécificités du matériel végétal pour de la complantation
2.7.4
Les bonnes pratiques de complantation
2.7.4.a
Avant usage des jeunes plants
2.7.4.b
Lors de la plantation
2.7.4.c
La complantation en deux temps : une alternative
2.7.4.d
Comment protéger les pieds après complantation ?
2.7.5
Les différentes techniques de régénérations
2.7.5.a
Le recépage
2.7.5.b
Le sur-greffage
2.8
Gestion des excès climatiques
2.8.1
La grêle
2.8.1.a
Comment détecter la formation de grêle ?
2.8.1.b
Quels sont les moyens de lutte préventifs contre la grêle ?
2.8.1.c
Quelles sont les bonnes pratiques après une grêle ?
2.8.2
Le gel
2.8.2.a
Quels sont les différents types de gel ?
2.8.2.b
Comment la vigne est-elle atteinte par le gel ?
2.8.2.c
Comment se manifestent les dégâts du gel sur la vigne ?
2.8.2.d
Quels sont les moyens de lutte préventifs contre le gel ?
2.8.2.e
Quelles sont les bonnes pratiques après le gel ?
2.8.3
Les inondations ou fortes pluies
2.8.3.a
Quelles sont les conséquences d’une inondation/forte pluie ?
2.8.3.b
Quels sont les moyens de lutte préventifs contre les inondations et fortes pluies ?
2.8.3.c
Quelles sont les bonnes pratiques après les inondations et fortes pluies ?
2.8.4
Les épisodes caniculaires
2.8.4.a
Quels sont les symptômes d’un épisode caniculaire sur la vigne ?
2.8.4.b
Quels sont les moyens de lutte préventifs contre un épisode caniculaire ?
2.8.4.c
Quelles sont les bonnes pratiques après une canicule ?
2.9
Irrigation
2.9.1
Quelles sont les conséquences d'un déficit hydrique sévère ?
2.9.2
Quelles sont les réglementations en vigueur dans la zone de production ?
2.9.3
Quels sont les différents systèmes d'irrigation existants ?
2.9.4
L'irrigation est-elle un besoin ? Quels sont les critères à prendre en compte ?
2.9.5
Comment piloter l'irrigation ?
2.9.6
Quelle période optimale pour irriguer ?
2.9.7
Quelles quantités d'eau faut-il apporter ?
2.9.8
Les alternatives à l'irrigation
3.
Vendanges
3.1
Définir un ordre de récolte
3.1.1
Les analyses pour évaluer la maturité des baies
3.1.1.a
Le prélèvement des baies
3.1.1.b
La définition des différentes maturités
3.1.1.c
Suivre l'avancement de la maturité technologique
3.1.1.d
Suivre l'avancement de la maturité phénolique
3.1.1.e
Retour d'expérimentation : impact de la date de récolte sur le profil aromatique
3.1.2
La dégustation des baies
3.1.2.a
L'intérêt de la dégustation et les critères d'évaluation
3.1.2.b
Caractérisation de la maturité
3.1.2.c
Est-il intéressant de récolter sur différents profils aromatiques ?
3.1.2.d
Quel lieu est le plus adapté pour la dégustation des baies ?
3.1.3
La gestion des volumes et la logistique humaine
3.1.3.a
Définir les volumes et/ou les rendements
3.1.3.b
Définir un rythme de vendange journalier
3.1.4
Critères de choix d'assemblage de parcelles ou de vinification parcellaire en fonction du cuvier
3.1.4.a
Le profil de la parcelle
3.1.4.b
L'historique de la parcelle
3.1.4.c
La vinification isolée d'une parcelle ou d'un lot de parcelles d'une même identité
3.1.4.d
Une possibilité d'assemblage selon plusieurs critères
3.1.4.e
Plusieurs styles de vinifications pour un même lot
3.1.4.f
Les adaptations aux volumes réels : la gestion d'une cuve en vidange
3.1.5
La prise en compte de l'état sanitaire au vignoble
3.1.5.a
Est-ce que le champignon Botrytis cinerea est présent ?
3.1.5.b
Quelles sont les conditions météorologiques à venir ?
3.1.5.c
Des symptômes de flétrissements sur baies sont-ils observables ?
3.2
L'entrée de la vendange : définir les critères de qualité à suivre
3.2.1
Les options pour garantir un état sanitaire optimal
3.2.1.a
Freiner le développement du Botrytis avant les vendanges
3.2.1.b
Le tri à la parcelle lors des vendanges
3.2.1.c
Le tri au chai
3.2.2
Maintenir le rythme journalier prévu lors des vendanges
3.2.2.a
Faciliter l'accès aux grappes
3.2.2.b
Du temps supplémentaire nécessaire lorsque plusieurs passages sont prévus
3.2.2.c
Adapter le parcours journalier en fonction des caractéristiques du vignoble
3.2.3
Les options pour préserver l'intégrité des grappes et leur potentiel qualité jusqu'à l'encuvage
3.2.3.a
Le moment optimal pour vendanger
3.2.3.b
Les différents contenants de la vendange
3.2.3.c
La conservation des grappes avant transformation
3.2.4
Le traitement des rafles et la possibilité de la vendange entière
3.2.4.a
L'impact des rafles sur le vin
3.2.4.b
Un pourcentage de rafles variable et défini selon plusieurs critères
3.2.5
Les options de traitement des baies à l'encuvage
3.2.5.a
Le foulage
3.2.5.b
La gestion du sulfitage
3.2.5.c
Le remplissage du réceptacle de vinification
3.2.5.d
La gestion des imprévus
4.
Vinification
4.1
Fermentation alcoolique
4.1.1
Analyse d'entrée de vendange
4.1.1.a
Le cuve est-elle bien homogène et représentative à ce stade ?
4.1.1.b
Quelles sont les analyses intéressantes pour la suite ?
4.1.2
Les intrants de base lors de la vinification
4.1.2.a
Gestion de l'azote assimilable
4.1.2.b
Gestion des sulfites
4.1.2.c
Correction de la vendange
4.1.3
Ensemencement
4.1.3.a
Choix d'une fermentation indigène
4.1.3.b
Choix d'une fermentation avec levures sélectionnées
4.1.4
Gestion de l'oxygène de la mise en cuve à la macération post fermentaire
4.1.5
Choix de l'itinéraire d'extraction
4.1.5.a
Quels sont les composés intéressants à extraire ?
4.1.5.b
Comment piloter l'extraction
4.1.5.c
Est-ce qu’il faut faire une macération pré-fermentaire à froid ?
4.1.5.d
Faut-il faire une saignée ?
4.1.5.e
Quels types d'extraction sont possibles ?
4.1.5.f
Comment raisonner l'extraction ?
4.1.6
Gestion des problèmes lors de la fermentation alcoolique
4.1.6.a
Les pratiques permettant de réduire le risque d’apparition de défaut lors de la fermentation
4.1.6.b
Que faire en cas de fermentation languissante ou d’arrêt de fermentation ?
4.1.6.c
Que faire en cas d’apparition d’odeur d’acétate d’éthyle ou d’acide acétique avant la fermentation ?
4.1.6.d
Que faire en cas d’apparition de réduction ?
4.1.7
La macération post-fermentaire
4.1.7.a
Généralités
4.1.7.b
Combien de temps et à quelle température doit se faire la macération post-fermentaire ?
4.1.7.c
Est-ce qu’il est possible ou nécessaire de continuer les remontages / pigeages ?
4.1.7.d
Quelles analyses vont permettre d'améliorer la prise de décision ?
4.1.7.e
Est-ce un danger si la fermentation malolactique commence sous marc ?
4.1.8
Point particulier sur la vinification des vins blancs
4.1.8.a
Gestion du pressurage
4.1.8.b
Fermentation alcoolique
4.2
Fermentation malolactique
4.2.1
Généralités
4.2.1.a
Qu’est-ce que la fermentation malolactique ?
4.2.1.b
Quelles réactions entrent en jeu lors de la fermentation malolactique ?
4.2.1.c
Quelles sont les conditions influençant la fermentation malolactique ?
4.2.2
Choix d’un ensemencement bactérien et mode d’application
4.2.2.a
Quel est le profil du vin ?
4.2.2.b
Si l’ensemencement est choisi, quelle est la marche à suivre ?
4.2.3
Choix du contenant pour la FML
4.2.4
Pilotage et suivi de la FML
4.2.4.a
Contrôle du taux d'acide malique
4.2.4.b
Que faire en cas de FML languissante ?
4.2.5
Traitement du vin à la fin de la fermentation malolactique
4.2.5.a
Est-il nécessaire de clarifier le milieu ?
4.2.5.b
Est-il pertinent de mettre le vin au froid ?
4.2.5.c
Le sulfitage post-FML
4.3
Ecoulage et pressurage des vins rouges
4.3.1
Choix des modalités d’écoulage
4.3.1.a
Choix du contenant
4.3.1.b
Choix du mode d’écoulage
4.3.1.c
Choix du traitement du vin après écoulage
4.3.2
Choix des modalités de pressurage des vins rouges
4.3.2.a
Généralités sur le pressurage
4.3.2.b
Quelles sont les différences entre un pressoir horizontal et un pressoir vertical ?
4.3.2.c
Comment choisir les pressions et les temps utilisés ?
4.3.2.d
Comment décider de la séparation des paliers de pressurage ?
4.3.2.e
Est-ce qu’il faut inerter lors du pressurage ?
4.3.3
Choix du contenant pour les presses
4.3.3.a
Est-il pertinent de pratiquer la réincorporation directe ?
4.3.3.b
Est-il nécessaire de contrôler la température des vins de presses ?
4.3.3.c
Quels volumes faut-il pour séparer et travailler au mieux les vins de presse ?
4.3.3.d
Faut-il clarifier les vins de presses avant de les entonner ?
4.3.4
Dégustation des presses : détermination de la qualité
4.3.4.a
Sur quels critères se baser pour déguster les vins de presse ?
4.3.4.b
Quel est le moment d’assemblage de ces presses ?
4.3.5
Travail des presses pour les rendre plus qualitatives
4.3.5.a
Dans quels cas faut-il sulfiter avant le départ en FML ?
4.3.5.b
Est-il pertinent d’utiliser la micro-oxygénation sur mes presses ?
4.3.5.c
La barrique neuve est-elle utilisable pour élever des vins de presse ?
4.3.5.d
Utilisation d'intrants œnologique pour protéger les presses ?
4.3.5.e
Est-il possible de faire du bâtonnage sur lies fines ?
5.
Élevage
5.1
Choix des modalités d'élevage
5.1.1
Les possibilités d'élevage et leur intérêt
5.1.1.a
Intérêt d'un élevage en cuve
5.1.1.b
Intérêt de l’élevage en fût
5.1.1.c
Intérêt de l’élevage en amphore
5.1.1.d
Quel type d’élevage va bénéficier à quel type de vin ?
5.1.2
Choix des conditions d’élevage
5.1.2.a
Choix des conditions de température et d'humidité
5.1.2.b
Choix de la durée d'élevage
5.2
L'assemblage
5.2.1
Les critères de discrimination d’assemblage
5.2.2
Exemples de méthodologie d’assemblage
5.3
L'élevage en fût
5.3.1
Choix des caractéristiques du fût
5.3.1.a
Généralités
5.3.1.b
Choix du type de grain
5.3.1.c
Choix de l'origine du bois
5.3.1.d
Choix du temps de séchage des merrains
5.3.1.e
Choix de la chauffe
5.3.1.f
Choix du volume du fût
5.3.1.g
Choix du pourcentage de bois neuf
5.3.2
L'adéquation bois / vin
5.3.2.a
Définition du principe
5.3.2.b
Quels sont les critères permettant de définir le profil du vin ?
5.3.3
Préparation des barriques avant utilisation
5.3.3.a
Quels est la marche à suivre pour s’assurer que les fûts commandés soient conformes ?
5.3.3.b
Quelles sont les étapes de préparation avant le premier entonnage ?
5.3.4
Entretien des barriques
5.4
Les manipulations du vin lors de l'élevage
5.4.1
L'ouillage
5.4.2
Le bâtonnage
5.4.3
Le soutirage
5.4.4
Le collage
5.5
La gestion de l'oxygène
5.5.1
Généralités - Les fondamentaux sur l'oxygène
5.5.1.a
L'oxygène lors de l'élevage
5.5.1.b
Quelles sont les conséquences de l’oxygène sur le vin ?
5.5.2
Les points de contrôle de l’oxygène
5.5.2.a
La température
5.5.2.b
La gestion des gaz dissous
5.5.2.c
La pression
5.5.2.d
Les antioxydants et les catalyseurs d’oxydations
5.5.2.e
L’apport d’oxygène induit par les manipulations du vin lors de l’élevage
5.5.3
Les spécificités du contenant sur l’apport d’oxygène au vin
5.5.3.a
L’élevage en fût
5.5.3.b
L’élevage en cuve
5.5.3.c
L’élevage en amphore
5.6
Le suivi microbiologique lors de l'élevage
5.6.1
Point sur les microorganismes d'altération lors de l'élevage
5.6.2
Point théorique sur les éléments influençant l’apparition de ces micro-organismes
5.6.3
Les moyens analytiques disponibles pour le suivi des micro-organismes d’altérations
5.6.4
Les moyens d'actions en cas de contamination
6.
Mise en bouteille
6.1
Préparation du vin avant la mise en bouteille
6.1.1
La clarification
6.1.1.a
La turbidité
6.1.1.b
Les différentes mesures de filtrabilité sur un vin
6.1.1.c
L’adaptation des différentes méthodes de clarification selon le contexte
6.1.2
La stabilisation
6.1.3
La filtration
6.1.3.a
Généralités
6.1.3.b
Quels sont les types de filtres existants et leurs propriétés ?
6.1.4
Les ajustements du vin après la filtration
6.2
Gestion des matières sèches
6.2.1
Le contrôle qualité du contenant
6.2.2
Le choix et le contrôle qualité de l'obturateur
6.2.2.a
Quelles matières sont disponibles et quelles sont leurs propriétés ?
6.2.2.b
Le choix des lots de bouchons en lièges et le contrôle qualité
6.3
Gestion de la mise en bouteille
6.3.1
Généralités
6.3.2
Le transfert du vin
6.3.3
Le contrôle qualité du système de mise en bouteille
6.3.3.a
Le rinçage des bouteilles
6.3.3.b
Le contrôle du tirage
6.3.3.c
Le contrôle du bouchage
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Molécule rappelant le clou de girofle. Elle est également produite par B. Bruxellensis mais sa teneur est en général 8 fois plus faible que celle du 4-éthyl-phénol. Seuil de détection de 100 µg/L dans le vin.
Molécule rappelant des odeurs d’écurie, de sueur de cheval, de cuir dans le vin. Elle est produite par B. Bruxellensis. Seuil de détection de 500 µg/L dans le vin.
Ce sont des produits minéraux ou organiques qui permettent le nettoyage par la dissolution des souillures. Ils se traduisent par un pH relativement bas (<6).
Somme de tous les acides libre et salifiés des acides volatils. Dans le vin, l’acide acétique est largement majoritaire.
L’acrotonie correspond à la tendance d’une plante à diriger la sève vers la cime afin de privilégier la croissance des bourgeons terminaux.
Plus connue sous le nom commun de « mauvaise herbe », une adventice est une plante qui pousse naturellement dans un endroit sans y avoir été intentionnellement plantée, elle n’est pas souhaitée en général par le viticulteur puisqu’elle peut concurrencer la vigne. Ces adventices permettent tout de même de couvrir le sol et de limiter les phénomènes d’érosion et de ruissellement.
Correspond à l’absorption d’eau par les racines de la plante. Une alimentation peut être régulière lorsque l’enracinement est très profond ou lorsque des argiles permettent une retenue d’eau assimilable sur le long terme pour la vigne. A l’inverse, l’alimentation hydrique peut être irrégulière sur un sol superficiel, ou l’enracinement est très peu profond et lorsque la texture ne permet pas un bon pouvoir tampon.
Aussi appelé long bois, aste ou encore latte, c’est un bois long de 3 bourgeons ou plus.
Une base ou produit alcalin est un produit qui se traduit par un pH élevé à très élevé (>10) permet d’éliminer les souillures et salissures en les solubilisant et en les désagrégeant. La soude, base forte, est généralement utilisée pour le nettoyage des cuves.
Action de mettre les lies en suspension, traditionnellement avec un bâton, le bâtonnage peut aussi être mis en place à l’aide d’une pâle ou de tout type d’objet pouvant créer un vortex ou une mise en mouvement homogène.
Tendance d’un sol à former une croûte à sa surface après l’action d’une pluie. Une croûte superficielle se forme alors, limite l’infiltration et le drainage de l’eau et augmente les risques de ruissellement et d’érosion.
Le Black Dead Arm est une maladie du bois associée à des champignons appartenant à la famille des Botryosphaeriaceae, elle a longtemps été assimilé à l'Esca car les symptômes sont proches.
Le bicarbonate de sodium (ou bicarbonate de soude ou hydrogénocarbonate de sodium) est une poudre blanche de formule NaHCO3 qui est utilisé en tant que produit de nettoyage et d’entretien (antibactérien, antimicrobien, antifongique, désinfectant).
C'est une opération qui consiste à ameublir la couche superficiel du sol aussi appelée le premier horizon, sur les premiers centimètres afin de faciliter l’enracinement. Pour un travail léger du sol avant plantation, le binage est souvent mécanique.
Il s’agit d’une expression qui définit l’absence de lenticelle sur une ou deux extrémités du bouchon de liège. Elles sont donc lisses et sans défaut permettant une meilleure lisibilité du marquage, assurant l’absence de poussière.
Acronyme de « Bois Raméal Fragmenté », est un bois issu du broyage de jeunes pousses (branches et rameaux) qui est utilisé en paillage en surface du sol. En général, le diamètre de ces jeunes pousses ne dépasse pas 7-8 cm afin de garantir une meilleure humification, une fois paillé. Il s’agit de bois riche en lignine qui est lentement dégradé par les champignons, peut aussi causer le phénomène de faim d’azote.
Le rapport C/N (rapport massique Carbone/Azote) est un indicateur de la vitesse de minéralisation de la matière organique. Lorsque ce rapport est très élevé (>15), cela signifie que la minéralisation est lente. Cela peut être du à un manque d'azote et/ou à une faible activité de dégradation (sol peu vivant). Lorsque ce rapport se situe entre 12 et 15, cela signifie que la minéralisation de la MO est correcte Lorsque ce rapport est inférieur à 12, cela signifie que la minéralisation est très rapide : le sol est très vivant et/ou il y a un excès azoté et un déficit en matière organique
La Capacité d’Échange Cationique, est la quantité de cations que le sol peut retenir et échanger avec la solution du sol. La CEC varie en fonction des caractéristiques du sol, elle aura tendance à être supérieure pour un sol argileux qu’un sol sableux. On définit plus grossièrement la CEC comme le « garde-manger » du sol.
Zone sur le sarment entre le dernier bourgeon et la coupe.
Il s'agit d'une décoloration des feuilles de vigne qui peut aller du vert pâle au blanc jaunâtre. Cette décoloration est essentiellemet due à une carence en un ou plusieurs éléments indispensables au bon déroulement de la photosynthèse. Il peut s'agit d'un manque en fer, en magnésium, en azote ou encore en manganèse.
CC= K/Q0 Où Q0 = le débit initial (Si Q0 est élevée alors 1/Q_0 est faible, l’adéquation entre le vin et le média filtrant est bonne) Et K = l’augmentation du volume filtré dans le temps (Si K est élevé, le colmatage est plus important)
Structure formée d’argile et d’humus (fraction stable de la matière organique) qui a pour propriété de retenir les cations et de les rendre disponibles pour la plante, dans la solution du sol.
De forme conique/ lorsque l’on parle de cuves à conicité variable, cela signifie qu’elles peuvent avoir un angle différent selon le constructeur.
Aussi appelé courson, c’est un bois court sur lequel il y a deux yeux francs maximum
Correspond à un phénomène naturel qui survient après la floraison, lorsque les fleurs tombent ou « coulent » et ne sont pas fécondées. La nouaison ne se fait pas pour toutes les fleurs et il en résulte une perte de production et donc une diminution du rendement. Les conditions climatiques peuvent impacter le taux de nouaison.
Le court-noué est une maladie virale observée par un affaiblissement progressif du pied de vigne. Au printemps, la végétation est languissante, les rameaux se déforment « en zig-zag » et les entre-nœuds se raccourcissent. Au niveau des feuilles, des altérations sont observées avec la formation d’une asymétrie avec des dents aigües et profondes.
Aussi appelée Brassicacée. C'est une famille de plantes qui ont la particularité d’assimiler en quantité le potassium et le phosphore. Il s’agit de plantes qui limitent de ce fait la lixiviation des éléments vitaux à la vigne. Les crucifères ont aussi un impact positif sur la structuration du sol en profondeur.
Il s’agit d’une cuve généralement située dans le cuvier ou en extérieur, qui contient le vin à filtrer puis à mettre en bouteille. Lorsque la mise en bouteille est éloignée, il s’agit d’une ou plusieurs cuves de gros volumes qui seront reliées par des tuyaux jusqu’au système de mise en bouteille
Il s’agit de l’un des composant de la tireuse. La cuve peut avoir un volume qui varie et permet le passage du vin dans les becs de tirage. A noter que le volume de ces cuves est de plus en plus faible sur les nouvelles machines.
C'est un type de travail du sol semi-profond. Il permet en général de décompacter les semelles de labour qui se sont formées sous les premiers horizons. Il est plus adapté jusqu’à une profondeur de 20 à 30 cm. Pour cela, des cultivateurs peuvent être utilisés.
Il s’agit d’un produit qui enlève les tâches graisseuses, ces produits peuvent donner l’impression d’un mauvais rinçage avec la formation de mousse sur les eaux de rinçage.
Il s’agit d’un produit qui dérougit les surfaces et séquestre le tartre accumulé sur les parois des cuves.
Il s’agit d’un produit utilisé pour décoller et éliminer le tartre et/ou le calcaire qui s’accumule sur les parois des cuves.
Il s’agit d’un produit de nettoyage aux propriétés tensioactives, qui comme un savon, permet d’enlever les salissures.
Ou aridoculture, s’oppose à la « wet-farming » ou l’irrigation des cultures en milieu aride ou semi-aride. Il s’agit d’un spectre d’opérations culturales permettant de conserver une certaine humidité pour permettre la culture.
Pratique qui consiste à enlever les entre-cœurs souvent pratiqué lors de l'effeuillage.
Brûlure des baies sous l’effet des rayons du soleil. Phénomène qui survient de manière naturelle lors de fortes chaleurs et luminosités. Peut-être aggravé lors de la mise en place d’un effeuillage tardif.
Il s’agit d’une échelle alphabétique qui permet de classer les différents stades phénologiques de la vigne. Le classement démarre à la lettre A pour « bourgeon d’hiver » ou « bourgeon dans l’écaille » et se termine à la lettre 0 pour « chute des feuilles ». Il existe d’autres échelles à classement numérique.
L’écoulage consiste à séparer le vin du marc. Ce vin est appelé vin de goutte. Il est retiré de la cuve pour être placé dans une autre cuve ou directement en fût. Le marc sera ensuite décuvé et pressé.
C'est un groupe de tanins présent en quantité dans le bois et notamment le chêne utilisé lors de l'élevage. Ce groupe est composé entre autre de castalagine, roburines et vescalagine. Ces tanins ont un fort pouvoir antioxydant.
Il s’agit d’un rameau secondaire latéral qui pousse sur le rameau principal de l’année. Les entre-cœurs peuvent être fertiles et produire des grappes ou grapillons, ils se développent davantage lorsque l’apex du rameau principal est coupé, c’est-à-dire lorsque l’écimage est pratiqué.
Maladie du bois provoquée par plusieurs champignons (P. chlamydospora, P. aleophilum et F. mediterranea) qui peut prendre une forme lente potentiellement soignable et une forme foudroyante incurable.
L'étiologie est l'étude des causes et des facteurs d'une maladie. En viticulture, elle permet de mieux comprendre les mécanismes de contaminations des champignons, notamment le mildiou de la vigne, ou encore l'oïdium
C'est une maladie de dépérissement causée par le développement dans le bois du champignon lignicole_Eutypa lata. Elle est incurable et baisse considérablement le potentiel de production.
C'est un phénomène qui survient lorsque les microorganismes du sol utilisent l’azote du sol pour dégrader de la matière organique, plus riche en carbone qu’en azote (paillage de BRF notamment) lorsque leur azote constitutif ne suffit plus. Il en résulte une dépression du sol en azote, ce qui est dangereux sur certaines cultures comme la vigne lorsqu’elles viennent à en manquer.
C'est une jaunisse de la vigne causée par un phytoplasme dont le vecteur est une cicadelle: Scaphoideus titanus. C'est une maladie grave causant le déperissement du vignoble.
Echelonné au stade I sur l’échelle Baggiolini, la floraison est un stade phénologique crucial ou les capuchons floraux se détachent pour laisser apparaitre les étamines et le pistil.
Fermentation malolactique: transformation entre autre de l'acide malique en acide lactique via des bactéries lactiques. Cette fermentation provoque une baisse d'acidité et une augmentation de la complexité aromatique.
Un champignon peut être désigné par sa forme parfaite ou sexuée (téléomorphe) ou par sa forme imparfaite (asexuée ou anamorphe). Il est aussi possible que l’une des deux formes ne se rencontre plus dans la nature.
C’est la limite en mm d’imprégnation du bois par le vin.
Les graminées ou anciennement Poacées, sont une famille de plantes qui ont, en culture secondaire sur l’inter-rang, un effet sur la structuration du sol en surface. Il s’agit de plantes faiblement compétitrice envers la vigne.
Il s’agit d’un rapport qui traduit « la Hauteur de vigne » divisée par « l’écartement entre 2 rangs », idéal entre 0,6 et 0,8, il s’agit d’un indice concernant l’activité photosynthétique sur vigne palissée.
3-isobutyl-2-methoxypyrazine est la principale molécule de la famille des pyrazines, responsable des arômes de poivrons vert dans les vins issus de certains cépages dont le Cabernet Sauvignon et le Fer servadou.
Ce sont souvent des morceaux du four de chauffe qui tombe dans le verre liquide et qui se solidifient ensuite autour créant une zone de fragilité. C’est un défaut majeur.
IC= (t400ml) – (2*t200ml) Où t400ml correspond au temps nécessaire à l’écoulement de 400 ml du vin à filtrer à travers la membrane à pression constante (2 bars) Et t200ml correspond au temps nécessaire à l’écoulement de 200 ml du vin à filtrer à travers la membrane à pression constante
Action qui permet de saturer un milieu (les cuves) avec un gaz ou un mélange de gaz (azote, CO2, argon) afin de réduire les risques d’oxydations du moût et/ou du vin ainsi que la prolifération de micro-organismes d’altération.
Représente la résistance d’un matériau aux changements de températures. Par exemple, le bois et le béton ont une meilleure inertie thermique que l’acier inoxydable.
Il s’agit de certains insectes porteur/hôte d’un agent pathogène (leur cycle de vie coïncident). Il s’agit souvent d’insectes munis d’un appareil buccal de type piqueur-suceur et ils transmettent alors l’agent pathogène lorsqu’ils piquent les feuilles de vigne pour se nourrir, il en résulte une infection de la plante par le pathogène.
L'Indice de Pouvoir Chlorosant est un rapport entre le calcaire actif (%) et le fer assimilable/facilement extractible (mg/kg). Il s'agit d'un indicateur du risque de chlorose ferrique. Inférieur à 10, le sol est faiblement chlorosant. Lorsque cet indicateur est supérieur à 60, le sol est très chlorosant.
L'indice de Perméabilité Pelliculaire, aussi définit par l'acronyme IPP, est l'un des deux critères d'avaluation de l'évolution de la maturité pelliculaire. Au cours de la maturation du raisin, la pellicule s'affine et la structure des parois se dégrade peu à peu facilitant le déchirement de celle-ci. La perméabilité se mesure en unité Aw et s'étend de 0,96 pour une pellicule peu ou pas dégradée à 0,86 pour une pellicule dégradée qui se dilacère facilement.
Aussi appelée les Fabacées. C'est une famille de plantes qui ont la particularité de fixer facilement l’azote atmosphérique et l’azote contenu dans le sol. La culture secondaire des légumineuses en viticulture, en inter-rang principalement, permet de couvrir le sol puis de restituer à la vigne après destruction, l’azote alors assimilé par ces légumineuses.
C’est un pore qui débute sur l’écorce et traverse le liège sous forme de « tranchées » pouvant former des aspérités. Elles permettent les échanges gazeux entre l’arbre, ici le chêne-liège, et l’atmosphère.
C'est l’action de l’eau de pluie lorsqu’elle entraine des éléments solides non solubles du sol vers les nappes phréatiques souterraines, ces éléments sont divers et variés, on parle parfois de lessivage des argiles ou des limons.
on parle de levée des plantules lorsque les cotylédons sont visibles à la surface du sol.
C'est l’un des principaux composants du bois qui assure rigidité et imperméabilité à la plante. Elle est principalement décomposée par les champignons mais étant relativement stable la dégradation est assez lente, ce qui en fait un matériau idéal pour le paillage (le BRF est riche en lignine).
C'est l’action de l’eau de pluie lorsqu’elle entraine en profondeur des éléments dissous, on parle par exemple de lixiviation des produits phytosanitaires, ou encore de lixiviation des nitrates.
Il s’agit de diverses réactions mises en place par la plante lorsqu’elle subit un ou plusieurs stress (contrainte hydrique, sécheresse, travaux en vert) elles se traduisent de différentes manières : un écimage fréquent peut conduire à la pousse plus vigoureuse des entre-cœurs ; l’éclaircissage fructifère peut induire l’augmentation du poids des baies par exemple. De manière générale, le seuil de compensation se situe aux alentours des 30%.
Ces planche sont obtenues en débitant un billot de bois dans le sens des rayons médullaires. Les merrains seront utilisés pour former les douelles du futur fût.
Il s'agit d'un avortement des raisins déjà fécondés. Cela est du à un défaut de maturation. Il en résulte des grappes avec des baies de tailles normales et des baies beaucoup plus petites. Le millerandage peut être réparti de manière éparse au sein de la grappe ou conserner la grappe dans son intégralité
La 3-Méthyl-2,4-nonanedione est une molécule aromatique responsable de notes aromatique comme le pruneau, le noyau de fruit ou encore l'anis selon la concentration. C'est un marqueur des vins rouges ayant subi une oxydation prématuré.
La matière organique (MO) varie en général entre 0,5 et 3%. Il s’agit de composés carbonés d’origine animale ou végétale qui résultent de la dégradation de végétation et de l’humus. Une quantité suffisante de matière organique est nécessaire à la vie du sol et de sa structuration
La macération pré-fermentaire à froid est une macération mise en place à basse température avant les départs en fermentations alcoolique. Elle peut être mise en place aussi bien sur raisins blancs que raisins rouges, la durée ainsi que la température sont variables (5°C minimum).
Cet acronyme signifie « Indice de Végétation par différence normalisée » traduit de l’anglais « Normalized Difference Vegetative Index ». Cet indice permet de cartographier le vignoble lorsqu’il est utilisé en télédétection, il varie entre -1 et 1 et renseigne sur l’expression végétative ainsi que la vigueur de la vigne.
Petits vers parasites vecteurs du virus du Court-Noué.
Aptitude d’un matériau à être débarrassé des salissures/souillures. La nettoyabilité va dépendre de l’état de surface naturel du matériau, par exemple une surface plus lisse comme l’acier inoxydable accrochera moins les souillures qu’une surface plus rugueuse comme le béton brut. Mais la nettoyabilité dépend aussi de l’état d’usure du matériau (rayures, décrochage du revêtement…), et de la configuration de celui-ci dans l’espace. La présence de d’angles vif et le manque d’accessibilité peuvent réduire la nettoyabilité d’un contenant.
Concept définit de différentes façons par les scientifiques, traduisant généralement la présence d’un organisme ou d’une espèce ou d’une population dans un écosystème et des conditions nécessaires à la survie de cette population au sein de cet écosystème. Une niche écologique prend aussi en compte les interactions entre espèces et la modification de l’écosystème par ces populations.
Echelonné au stade J sur l’échelle Baggiolini, la nouaison est le stade phénologique qui succède la floraison, il correspond au grossissement des ovaires alors fécondés lors de la floraison
Ce sont les yeux sur le rameau. Les bourgeons pouvant potentiellement débourrer de la couronne (la base du rameau) ne sont pas comptés.
Une cuve ovoïde est une cuve qui a une forme d’œuf, ne présentant pas d’angle.
Pratique qui consiste à donner une structure définie à la vigne en attachant le tronc, puis potentiellement les bras et à orienter sa pousse selon le souhait du vigneron entre plusieurs fils et à l’aide d’attaches. Le palissage a pour but d’améliorer la qualité de production et le rendement par la mise en contact d’un maximum de feuille aux rayons du soleil.
Ce sont des pousses à l’état herbacé qui se trouvent sur le vieux bois, elles consomment de l’énergie et représentent un puit de sève pour la vigne qui n’est pas toujours souhaitable, dans ce cas, il faut les retirer. Les pampres peuvent aussi être utilisées pour lutter contre l’allongement d’un pied si elles sont positionnées correctement.
Il s’agit d’un produit qui agit comme un film artificiel sur une surface permettant de limiter la corrosion et l’usure de l’extérieur des cuves inox.
La mesure de pénétrométrie, est l'un des deux critères d'avaluation de l'évolution de la maturité pelliculaire. Au cours de la maturation du raisin, la pellicule s'affine et la structure des parois se dégrade peu à peu facilitant le déchirement de celle-ci. L'épaisseur de la pellicule peut être mesurée à l'aide d'un pénétromètre, le résultat s'étend de 1,2 kg pour une pellicule épaisse à 0,4 pour une pellicule fine alors plus sensible au Botrytis.
Le potentiel hydrogène noté pH est une mesure de la quantité d’ions hydrogènes en solution dans le moût. Plus simplement, le pH mesure l’acidité d’une solution. A maturité, le pH est compris entre 3 et 4, ou plus selon le cépage et les conditions climatiques.
Puceron originaire de l'est des Etats-Unis qui attaque les racines de la vigne. Il a ravagé le vignoble européen à partir de la fin du 19 ème siècle.
Ce sont des parasites dépourvus de paroi cellulaire qui se multiplient dans la plante, plus particulièrement dans le phloème.
Il s'agit généralement de vieux pieds de vignes d'un cépage différent de celui majoritairement représenté au sein de la parcelle. Par exemple, il est possible de trouver quelques vieux pieds de Merlot sur une parcelle de Cabernet Sauvignon.
Un organisme auxiliaire est définit par l''AFPP comme étant un animal, prédateur ou parasite qui, de par son mode de vie, apporte son concours à la destruction de ravageurs nuisibles aux cultures et jouent un rôle important dans le contexte de la protection intégrée.
Ensemble des mesures à mettre en œuvre pour une lutte préventive contre la ou les maladies. En viticulture, les méthodes prophylactiques sont diverses et variées, du retrait des bois et racines morts afin d’éviter toute risque de maladie du bois aux effeuillages permettant de réduire les entassements de végétation pour la gestion des maladies cryptogamiques.
Rapport C/N : signifie rapport massique carbone/azote, il s’agit d’un indice permettant d’appréhender la vitesse de minéralisation de la matière organique. Lorsqu’il est élevé, >14 il traduit d’une vitesse trop lente de dégradation de l’azote, à l’inverse lorsqu’il est <8 la dégradation est trop rapide, signe d’une forte activité des microorganismes du sol.
Il s’agit de l’eau retenue par le sol formant un film sur sol ressuyé et utilisable par la vigne.
Rinçage / Nettoyage / Désinfection
Acronyme du rapport « Réservoir Utile / Capacité de Stockage de l’Eau ou Capacité au champ ou capacité de rétention en eau ». La CSE correspond au volume/quantité d’eau présente dans le sol ou un horizon du sol après ressuyage naturel de celui-ci, autrement dit toute la réserve en eau du sol qu’elle soit utilisable ou non par la plante. Le pouvoir tampon d’un sol varie en fonction de ses propres caractéristiques (granulométrie, texture, structure…), plus la texture est fine, plus la surface de contact avec l’eau est élevée : un sol argileux aura un pouvoir tampon supérieur à un sol sableux.
C'est un outil d’aide à la décision. Il a pour but d’aider une entreprise à répondre à une ou plusieurs problématiques. Pour cela, la technique consiste à utiliser un système de notation par critère. En viticulture par exemple, et pour une parcelle donnée, on affecte, pour chaque critère (hétérogénéité, vigueur, maladie…), un score sur une échelle préalablement définie. Le score (ou somme totale) obtenue pour cette parcelle à l’étude est comparé à une valeur seuil ou moyenne et/ou aux scores des autres parcelles afin d’établir un classement.
Il s’agit d’un produit qui capture les ions et métaux, et les empêche de précipiter et de former des dépôts sur les parois des cuves.
Surface Foliaire Externe et qui correspond à la canopée externe du couvert végétal de la vigne ou encore la surface occupée par la couche externe des feuilles d’un pied de vigne.
Fraction moléculaire du SO2 libre. Cette forme est la plus active et sa valeur varie en fonction de la température, du pH et du TAV
Fraction de sulfites lié à d’autres molécules du vin comme des sucres ou des aldéhydes.
Ce sont sulfites qui ne sont pas liés à d’autres molécules et qui sont actif vis-à-vis de l’oxygène et des micro-organismes.
Somme du SO2 libre et du SO2 combiné.
On parle de ressuyage lorsque toute l’eau (de pluie notamment) qui occupe les espaces vides (lacunaires) et occupe la macroporosité du sol s’est écoulée par gravité. Elle n’est plus saturée et elle est alors retenue sous forme d’un film liquide facilement accessible par les racines.
C'est une opération de décompaction en profondeur par principe de fissuration. Réalisé à la sous-soleuse (munie de dents droites) ou au Ripper (muni de dents incurvées), il est aussi possible de travailler à l’aide de dents vrillées. Le sous-solage sera efficace pour casser des horizons massifs en profondeurs, jusqu’à 60cm environ.
Le soutirage consiste à transférer le vin d’un contenant à un autre (cuve ou barrique). L’objectif est d’éliminer la lie déposée au fond de la barrique et d’amener un peu d’oxygène.
C'est un stress subit par la plante qui résulte d’un changement environnemental. Dans le cas présent, un stress abiotique peut correspondre à une carence ou un excès minéral, une forte pluviométrie, un épisode de grêle ou encore un épisode caniculaire.
C'est un stress subit par la plante qui résulte de l’action d’un organisme vivant sur un autre organisme vivant. Dans le cas présent un stress biotique peut correspondre à l’action d’un organisme pathogène vivant sur la vigne
Température, Action mécanique, Concentration, Temps d’action ou de contact. Ce sont les quatre leviers pour maintenir une bonne hygiène.
C'est un outil muni d’une tête en forme de spirale. Cet outil permet de percer le sol et de creuser des trous sur quelques dizaines de centimètres. Il est, en général, utilisé pour des analyses de sols mais convient aussi à la plantation/complantation.
Le TCA (2,4,6 trichloroanisole) : est la molécule responsable du goût de bouchon dans le vin. Cette molécule se caractérise par l’odeur de liège, de carton mouillé ou encore de cave humide. Le TCA est synthétisé à partir des chlorophénols et nécessite donc la présence de molécules chlorées, souvent apportées par les produits d’hygiène et d’entretien à base de chlore.
Les travaux en vert comprennent différentes opérations à la vigne au cours de la période végétative dont l’écimage, le rognage, l’ébourgeonnage, le dédoublage, l’épamprage mais aussi l’effeuillage ou encore l’éclaircissage.
L'automatisation des lignes de tri à la réception du raisin en cave est possible et se développe de plus en plus pour des vendanges récoltées manuellement ou mécaniquement. Il s'agit d'équipements qui permettent un tri par vision, notamment à l'aide de caméras, d'éclairages et de systèmes électroniques permettant d'identifier l'ensemble de la vendange dans l'espace afin de faire une sélection qualitative (rejet des feuilles, baies rosées...etc.).
Les vers de la grappe, aussi appelés tordeuses de la grappe, sont les chenilles des papillons Eudémis et Cochylis. Les générations de ces vers attaquent les grappes et pénètrent les baies pour y manger le contenu.
Vmax = (t2-t1)/(t2/V2-t1/V1) Où t1 et t2 sont les deux temps définit par l’utilisateur, en général respectivement 2 et 5 minutes Et V1 et V2 les volumes respectivement écoulés pendant les temps t1 et t2
Zone Non Traitée : Lorsque la parcelle se situe en zone riveraine, proche d’une école, d’un lieu public et de santé ou des habitations, des distances minimales de sécurités de 10 mètres doivent être respectées pour l’application de traitements en milieu non fermé des parties aériennes des plantes.
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2.7
La complantation
2.7.1
Généralités
2.7.2
La préparation avant la complantation
2.7.3
Le choix du matériel végétal
2.7.4
Les bonnes pratiques de complantation
2.7.5
Les différentes techniques de régénérations