Les valeurs classiques de pressions auxquelles le vin est soumis sont sans impact significatif sur la dissolution de l’oxygène.
L’impact de la pression n’intervient que dans les manipulations d’oxygène via une pompe à haut débit par exemple ou avec un différentiel de hauteur entre le point de pompage et le point d’entonnage par exemple.
Lors d’un pompage, lorsque la pression du vin atteint 2 bars, la quantité d’oxygène potentiellement dissous est de 15 mg/l (à 25°C).
Il faut donc être particulièrement vigilant sur les débits choisis lors des pompages.